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Votre questionPeut-on savoir ce qu'il y a de l'autre côté ?
A propos de : Pourquoi cet hymne scandaleux à l'impuissance?Ÿ Les différentes parties de cette discussion m'étonnent. Autant la réponse du Pasteur Kraege que cette réaction "scandalisée". Personne ne sait exactement ce qui est de l'autre côté. Ca n'est pas un sujet qui élève. Comme si je vous décrivais la vue depuis le sommet du Mont-Blanc. ça dépend de la météo, de l'heure, de ma position psychologique et de mon mode d'expression. Bref, c'est très relatif et prétendre en savoir sur "le salut" c'est tirer des plans sur la comète, non ?
Réponse de : 
Jean-Denis Kraege
Jean-Denis Kraege
Cher Greg,
Vous devez faire erreur: je n'ai pas répondu à Léonard qui m'attaquait assez
vivement. C'est Cédric Juvet qui l'a fait. Aggression et réponse ne portaient
cependant pas sur ce que vous en avez retenu à propos de ce que l'on peut savoir
de l'au-delà. Peut-être confondez-vous avec une autre réponse que j'ai donnée sur
ce site.
Sur le fond, je ne puis en fait qu'approuver votre point de vue. Voici par exemple
ce que j'ai écrit sur ce site il y a quelque temps : " comment concilier ces
deux affirmations: "le chemin, c'est Jésus" et "nous ne pouvons déterminer qui
est sauvé ou ne l'est pas"? Je suis persuadé que le seul moyen, c'est de renoncer
à vouloir se situer en dehors de la place bien humble qui est la nôtre. Acceptons
que nous ne puissions pas SAVOIR qui est sauvé ou ne l'est pas et que, nous
qui avons le privilège de connaître quel est le chemin que Dieu a emprunté pour
nous faire savoir que nous sommes sauvés, nous devions en parler autour de nous.
Ce n'est pas pour rien si le Nouveau Testament ne pose jamais ce type de questions
métaphysiques. La seule préoccupation de ses auteurs, c'est d'être témoin de
ce que Dieu nous a donné à connaître en Jésus. Il est urgent que tous ceux qui
nous entourent le sachent aujourd'hui comme c'était le cas pour la première
génération après Jésus. Obéissons à l'ordre d'être missionnaires et cessons de perdre notre
temps à nous demander si les aborigènes australiens nés avant l'existence de
Jésus seront quand même sauvés ou pas... Cela regarde Dieu, pas nous.
Vous devez faire erreur: je n'ai pas répondu à Léonard qui m'attaquait assez
vivement. C'est Cédric Juvet qui l'a fait. Aggression et réponse ne portaient
cependant pas sur ce que vous en avez retenu à propos de ce que l'on peut savoir
de l'au-delà. Peut-être confondez-vous avec une autre réponse que j'ai donnée sur
ce site.
Sur le fond, je ne puis en fait qu'approuver votre point de vue. Voici par exemple
ce que j'ai écrit sur ce site il y a quelque temps : " comment concilier ces
deux affirmations: "le chemin, c'est Jésus" et "nous ne pouvons déterminer qui
est sauvé ou ne l'est pas"? Je suis persuadé que le seul moyen, c'est de renoncer
à vouloir se situer en dehors de la place bien humble qui est la nôtre. Acceptons
que nous ne puissions pas SAVOIR qui est sauvé ou ne l'est pas et que, nous
qui avons le privilège de connaître quel est le chemin que Dieu a emprunté pour
nous faire savoir que nous sommes sauvés, nous devions en parler autour de nous.
Ce n'est pas pour rien si le Nouveau Testament ne pose jamais ce type de questions
métaphysiques. La seule préoccupation de ses auteurs, c'est d'être témoin de
ce que Dieu nous a donné à connaître en Jésus. Il est urgent que tous ceux qui
nous entourent le sachent aujourd'hui comme c'était le cas pour la première
génération après Jésus. Obéissons à l'ordre d'être missionnaires et cessons de perdre notre
temps à nous demander si les aborigènes australiens nés avant l'existence de
Jésus seront quand même sauvés ou pas... Cela regarde Dieu, pas nous.