Que penser de ce dieu qui est partout présent même dans mon corps ?

Bonjour ! Que penser de Dieu qui est présent partout ?
Je ne suis pas sûr de bien comprendre votre question, et du coup, j'espère ne
pas me tromper de réponse !

Personnellement, si je vous comprends bien, je suis comme vous: je ressens Dieu
très présent dans ma vie, dans ma personne et aussi dans mon corps ... ce que
j'en pense ?
C'est d'abord que j'ai de la 'chance' (même si la chance n'a certainement rien
à voir là dedans) d'avoir un Dieu qui marche à mes côtés tous les jours ...
que j'ai de la chance d'avoir un Dieu qui comprend tout ce que je vis ... et
je le remercie tous les jours de tout ce qu'il m'offre et me permet de vivre ...
et je demande tous les jours: 'Seigneur, encore un jour !'

D'ailleurs, il y a un psaume que j'aime beaucoup et que je lis parfois pour
me le remettre en mémoire: c'est le Psaume 139, la louange d'un homme devant
la grandeur et la bonté de son Dieu ...

Alors encore une fois, que penser ? Personnellement, j'aurais tendance à dire
que je ne pense rien, sinon que je ressens un profond sentiment de joie lorsque
je pense à la proximité que mon Dieu m'offre ...

Et j'aurais tendance à paraphraser le Christ lorsqu'il dit en Matthieu les Béatitudes:
Heureux êtes-vous qui ressentez Dieu même dans les moments de détresse ! Car
c'est un signe de sagesse de savoir distinguer ce qui est de Dieu et ce qui
est de la terre, et un chemin de Paradis que de reconnaître à Dieu la toute-puissance
sur toute chose.

Je vous partage tout cela, en espérant que cette omniprésence de Dieu ne vous
pèse pas, ce qui, pour certains est le cas: je ne voudrais pas avoir ajouté
au poids de la toute-présence de Dieu, le poids de mon enthousiasme ...

'Que penser' ?
Il n'y a rien d'obligatoire à penser ...
Ce qui reste incontournable, c'est la vie que nous avons et que nous pouvons
choisir d'assumer le plus longtemps possible ! Ce qui est lié à cette vie, ce
sont les sentiments qui naissent et disparaissent ... les sentiments, cela ne
se commande pas ... ils sont à vivre, tout simplement !