Y a-t-il un fatalisme et un pessimisme réformés?

vous relevez avant tout son fatalisme, et sa conception pessimiste de l'homme,
"incapable par lui-même d'aucun bien" - selon la prière pénitentielle de Théodore
de Bèze -. Votre idée selon laquelle la Réforme serait une réaction à la Renaissance
empreinte d'optimisme, a en effet été défendue non sans succès. Pour ma part,
je la suivrai volontiers, mais je sais par ailleurs que tout le monde ne la
partage pas.
N'oublions pas toutefois que si la Réforme s'est montrée pessimiste sur l'être
humain, elle a aussi affirmé qu'avec la grâce de Dieu reçue et acceptée, tout
devient possible. Le mouvement réformé croit à la Résurrection, de par la grâce
de Dieu.
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