Suis-je comme je devrais être ?

Est-ce que je culpabilise devant Dieu ou est-ce que je culpabilise devant ce
que les autres me disent d'être ?
Que Dieu vous aime, c'est une certitude théologique.
Et je vous souhaite que ça devienne une certitude existentielle.
Dieu n'a jamais conditionné son amour au fait qu'on lui fasse cinq prières par
jour, qu'on parle très fort dans les réunions de prière, ou qu'on ouvre la bible
pour un oui ou pour un non.
Maintenant, c'est quand même une relation que nous avons avec Dieu dans la foi.
Si on n'est pas présent à l'autre, la relation cloche. Si vous n'êtes "pas dans
votre assiette avec Dieu" en ce moment (pardonnez-moi l'expression), ça ne vous
concerne pas que vous, mais ça doit le toucher lui aussi. Vous pouvez faire avec
lui ce que vous feriez avec un conjoint à qui vous feriez la tête depuis quelques
semaines sans raison vraiment précise : lui sourire à nouveau, se préoccuper
si lui va bien ou non, demander pardon pour le manque d'attention, etc.
Vous verrez bien si ça fait quelque chose...
Aucun commentaire
Actualités protestantes
-
06.05.2025 - Derniers contenus de Réformés.chLes ONG face à la dépendance et à l’héritage colonial
-
06.05.2025 - Derniers contenus de Réformés.chUsaid: l’impact dévastateur du retrait américain
-
06.05.2025 - Derniers contenus de Réformés.chDes solidarités en peine
-
06.05.2025 - Derniers contenus de Réformés.chSœur Huguette: la force d’une conviction
-
06.05.2025 - Derniers contenus de Réformés.chSortons au grand jour les secrets de famille